•  Qu'il est parfois dur d'assister à l'amour des autres. Tout ce bonheur, toute cette amitié, toute cette joie. Une espèce de mélange extra concentré d'amour qui finit par vous donner une légère nausée. Trop d'amour tue l'amour. Qui a dit cela ? Je ne me souviens plus. Tout ce que je sais, c'est que je commence tout doucement à me demander pourquoi je m'obstine à ignorer l'évidence : Je suis en manque !

    Nom de Dieu. En manque de TOUT, d'air, d'amour, de liberté, de mouvement, changement, découverte et affection. Tiens, pour une fois, je vais imiter toutes ces andouilles qui dans leurs skyblogs mettent des chansons anglaises pour exprimer un quelconque sentiment sans pour autant traduire la chanson (ça fait biliiiiiiiiingue). Sauf que moi, je vous la traduirai (c'est de l'allemand en plus) :

     

     

     

     

     


    Aus der Bohne und in das Licht
    Ein Wesen mich zu gehen drängt
    Für die selbe Sache und das alte Leid
    Meine Tränen mit Gelächter fängt
    Und auf der Matte fault ein junger Leib
    Wo das Schicksal seine Puppen lenkt
    Für die selbe Sache und das alte Leid
    Weiß ich endlich hier wird nichts verschenkt

    Aus der Bohne und in das Nichts
    Weiß jeder was am Ende bleibt
    Dieselbe Sache und das alte Leid
    Mich so langsam in den Wahnsinn treibt
    Und auf der Matte tobt derselbe Krieg
    Mir immer noch das Herz versengt
    Dieselbe Sache und das alte Leid
    Weiß nur endlich

    Ich will fickeeeeeeeeen
     
    Nie mehr
    Nie mehr
    das alte Leid

    Aus der Bohne und in das Licht
    Ein Wesen mich zu gehen drängt
    Für die selbe Sache und das alte Leid
    Meine Tränen mit Gelächter fängt
    Und auf der Matte fault ein junger Leib
    Wo das Schicksal seine Puppen lenkt
    Für die selbe Sache und das alte Leid
    Weiß ich endlich

    Pour ceux qui ne reconnaissent pas, il s'agit de Rammstein - Das alte leid. Mais qu'est ce que je fous à écrire cet article moi ? Je devrais être en train d'étudier math... Ah non, merde, c'est Perrine qui a mes feuilles... C'est pour ça que j'écris, je m'emmerde. Parfois, je me dis que, même sans le faire exprès, je suis un vrai boulet. Bon, je ne vous fais plus longtemps partager mon ennuis, voici la traduction du texte et puis, je pense que j'irais méditer sur le taux de probabilité que j'ai de réussir mon année avec une diss... Sans commencer à étudier ce soir...

    De la graine vers la lumière
    Un être me pousse à aller
    Vers la même chose, ce mal ancien
    Il prend mes larmes en ricanant
    Tandis que pourrit sur la couche un jeune corps
    Où le destin nous mène-t-il,ses pantins
    Vers la même chose, ce mal ancien
    Et je sais enfin qu'ici rien ne vous est offert

    De la graine vers le néant
    Chacun sait ce qui reste à la fin
    La même chose,ce mal ancien
    Me fait sombrer lentement dans la folie
    Et sur la couche la même guerre fait rage
    Qui consume encore mon cœur
    Toujours la même chose, ce mal ancien
    Je le sais enfin

    Je veux baiser

    Plus jamais ce mal ancien


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  • En quoi ça vous regarde qui je suis ?
    Ma façon d'être moi ne vous plaît pas ?
    Qu'est ce que ça peut vous foutre que je ne porte pas, au contraire de vous, des vêtements de marques ? Hein ? Vous croyez que ça va vous valoriser de montrer que vous soutenez la société de consommation ?

    Hein ? Quoi ? C'est pour plaire ? Ah bon... Si vous pensez que vous plairez sincèrement à quelqu'un en montrant vos belles baskets Nike, vos pantalons G-star et vos t-shirts Adidas, grand bien vous en fasse ! Mais moi, je ne vais pas critiquer votre manière de vous habiller ! Du moins, je ne vous attaque pas ouvertement avec ça !

    Et puis pourquoi je me justifie moi ? C'est vous qui m'agressez, je me demande pourquoi je discute avec des connards dans votre style...

    Je commence à comprendre pourquoi les goths s'habillent en noir...

     


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  • Qui a dit que tout espoir était perdu ? Qui dit que la justice ne suffisait plus à combattre l'injustice ? Et qui a dit que la corruption était incurable ? Certainement pas Tommy Lee Jones. En effet, comment pourions-nous qualifier sa première production ? Sinon en disant que, loin d'être un coup d'essai, c'est un coup de maître ?

    Au début, je n'y croyais pas. Une image un peu terne. Un bout de désert texan (pour changer), une jeep qui descend une colline. Le générique prend fin et la jeep arrive à notre hauteur. Deux hommes armés (je ne m'y attendais qu'à moitié) occupent le véhicule. L'un épaule et tire un chacal. Félicitations, la bête rend l'âme. Puis arrive l'horrible découverte : le chacal était en train de boulotter des restes humains. Les restes de Melquiades Estrada pour être précis (par pitié, m'obligez pas à le réécrire). L'histoire commence.

    La victime était un berger mexicain, ami de Pete Perkins (Tommy), un contremaître local. La police découvre vite le coupable (je vous laisse la surprise) et décide de classer l'affaire sans suite (vous saurez pourquoi si vous regardez le film). Pete, révolté face à l'évidente corruption, décide de prendre les choses en main. Il connais le nom et l'adresse du tueur (vous saurez comment). Et se rend chez lui. Là, il le kidnappe et le force à déterrer Melquiades. Le film commence pour de bon. Débute alors un incroyable voyage vers le Mexique afin de rendre le corps de Melquiades à sa famille et à sa terre natale. Seulement, Pete oblige l'assassin à l'accompagner et transporter le corps de son défunt ami. Durant le voyage, le criminel va se rendre compte de l'atrocité de son acte et va se cogner à un Tommy Lee Jones intraitable.

    Que dire d'autre sinon que le film est génial ? Une épopée à travers le désert mexicain et ses décors grandioses, l'histoire d'une amitié que même la mort ne détruira pas, un châtiment bien mérité pour un beau salaud et une bande originale rappelant les anciens westerns de John Wayne. On en ressort difficilement indemne. Le film, pas seulement le scénario, mais le film en tant qu'oeuvre d'art, appelle autant d'émotions que d'horreur ; on peut aussi bien en rire, qu'en pleurer ou encore en avoir peur.

    Bien sûr, ce n'est pas non plus le film le plus abouti de tous les temps. Des passages qui se traînent en longueur, mouvements de caméras chaotiques et acteurs au jeu nerveux entachent un tantinet le film, mais quel film peut prétendre à la perfection ?

    En bref, le premier long métrage de Jones nous apporte un bon moment de réflexion sur le sort des émigrés mexicains, un instant fort en sentiments et (enfin) une vraie morale à l'issue d'une grosse production américaine.

    Note : 8/10
    Genre : Drame


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  • Qui suis ?

    D'où viens-je ?

    Où vais-je ? 

    Je suis un mammifère mâle de la famille des primates. Le véritable nom de mon espèce est l'Homo Sapiens Sapiens, nous nous nommons nous même "humain". Le nominatif que je me suis donné est Envinyatar de la maison de Telcontar. Mon rôle au sein de ma société ? Je suis la relève...
    Je suis issu de l'accouplement d'un mâle et d'une femelle de mon espèce. L'un est de groupe sanguin O+, l'autre A+. Le mâle porte sur son chromosome X, le gène d'une terrible maladie génétique.
    Je vais mourir.

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  • Musique : Cure - Faith
    Température embiante : 22°C
    Degré d'alcool dans le sang : 0
    Projet : Matage d'un (bon, j'espère) film
    Heure : 21h15
    Etat : Digestif, végétatif, somnolent

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