• Voici une liste non exhaustive de me envies immédiates (n'allez pas me demander pourquoi j'écris ceci, j'en ai simplement envie, là, maintenant, tout de suite)


    Dans l'immédiat, je veux :


    - Un verre de vodka frappée.
    - Une tablette de chocolat côte d'or 70% cacao.
    - Me retrouver 12kms plus au sud pour partager une super soirée avec mes amis.
    - Baucoup d'argent afin de m'acheter le pardessus, le pendentif et le bracelet dont je rêve.
    - De l'action.
    - Une nouvelle coupe de cheveux.
    - Une copine pour baiser comme des bêtes pendant toute la nuit.


    Dans la vie, je veux :


    - Plein d'argent pour pouvoir faire plein de soirée avec plein d'alcool.
    - Une copine aimante et aussi individualiste que moi (car j'ai enfin compris que c'est ce qui m'attire le plus chez une fille).
    - Travailler comme directeur de département dans la rechreche pharmaceutique chez Glaxo Smith Kline.
    - Réussir mes études brillament.
    - Avoir plein d'amis (les actuels seront parfait) pour organiser des mégas fiestas.
    - Des enfants.
    - Pas de voiture.
    - Ecrire des romans que tout le monde lira et aimera (un peu dans le style d'Harry Potter).
    - Une résidence secondaire à New York, Paris, Londre, Nante, Sidney, Dubrovnik et Dublin.
    - Une grande maison (genre chateau) dans laquelle on organisera des mégas fiestas.
    - Un appartement dans le centre de Liège.


    A ma mort, je veux :


    - Etre enterré dans un petit cimetière derrière une église (le cimetière où est enterré Sir Arthur Conan Doyle sera parfait).
    - Que ma fortune soit léguée à des oeuvres de charités.
    - Que pendant mon enterrement, on passe la B.O. de Requiem for a dream.
    - Que sur ma pierre tombale, il soit écrit :



    R.I.P
    Ci-gît G****** E**, brillant scientifique et bienfaiteur de l'humanité.
    Ami, époux et père regretté.
    Treza 73413, l'ordinateur te regrettera.

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  • Plus tard, je fonderai une société autonome, la société du bonheur. C'est pas compliqué, il suffit d'isoler les facteurs qui pourrissent le monde actuelement et de les éliminer. Ainsi, on aura un monde sans argent, sans armes et sans chef. Tout d'abbord, repérer un site. Il est nécessaire que le site en lui même soit d'une grandeur limitée afin de ne pas atteindre un nombre trop élevé d'individus, ce qui ramènerai irremédiablement les facteurs négatifs de la société de consommation. L'idéal serait une île ou un complexe souterrain. Prenons la possibilité de l'île, et pour le symbole, je vais l'appeller Nùménor.




    Sur Nùménor, il y a environ 50.000 habitants, tous volontaires pour participer à une expérience visant à atteindre le bonheur collectif. Pour commencer, toute notion d'argent doit disparaître, chaque citoyen recevra sa nourriture à volonté et selon son bon désir, il mangera ce qu'il souhaite. La nourriture sera distribuée dans des centres ressemblant un peu à nos supermarchés, à l'exception près qu'elle sera emballée le plus sobremant possible afin d'éviter la pollution inutile et le "phénomène des marques" ; précisons que tous les emballages seront bio-dégradables. D'autre part, chaque citoyen devra travailler pour la collectivité un nombre d'heure bien définis par chaque mois, ça a l'avantage de laisser au citoyen le choix du moment auquel il travaillera. Evidemment, certains métiers nécessitent un travail permanant et régulier, pour ceux là, on prévoira un nombre plus élevé de travailleur (qui se relaieront plus souvent), ce qui leur alouera autant de liberté que pour un ouvrier par exemple. A noter que ceux qui hériteront des métiers les plus ingras, se verront alouer plus de libertés également. Entretenir un pays pareil ne dois pas trop demander de travail tant qu'il vivra en autarcie.




    Par ailleurs, chaque citoyen se verra offrir dès qu'il le souhaite, une parcelle de terre vierge d'une taille égale à tous pour y faire bâtir sa maison selon ses plans. Ce système est avantageux car il permet de laisser la liberté à chacun de choisir sa maison, tout en l'empêchant de tomber dans la mégalomanie et empiéter sur l'espace vital des autres.




    Pour la politique, Nùménor n'en aura pas. Il y aura un représentant de l'ïle, chargé des relations politiques extérieures, celui-ci devra indispensablement avoir des notions de langue et de diplomatie afin de conserver la paix avec les voisins de l'île. A côté de cela, nous aurons un "corps de l'ordre", équivalent de la police actuelle, qui sera chargée de faire respecter les quelques lois élémentaires de Nùménor. Lois dont voici l'embryon :




    Il est interdit à chaque citoyen de :
    - Tuer qui que ce soit. Les animaux ne peuvent être executés, dans la seule et unique finalité de leur consommation, que par l'abatoire qui obéira au principe de la distribution collective sans condition ni limite de son produit [de même que les agriculteurs et pecheurs].
    - Voler le bien d'autrui.
    - Mentir ou tromper dans le but de nuire à un autre citoyen.
    - Malmener un autre citoyen dans un autre cadre que celui du sport.
    Tout contrevenant sera puni par le bannisement définitif de l'île et suivit d'une peine de prison à l'étranger selon la gravité des faits.




    La devise de l'île sera : ta liberté s'arrête là où commence celle des autres.
    Les insultes seront banies du vocabulaire commun et les contrevenants seront passible d'exil.




    Les citoyens auront à leur disposition le fruit de leur propre travail. Ainsi, s'ils souhaitent des ordinateurs, ils ne devront compter que sur eux mêmes pour bâtir une usine et produire leurs machines, mais ils pourront bénéficier d'aide de l'extérieur pour appliquer la technologie acquise par l'humanité actuelle. Les surplus, de quelque nature qu'ils soient, seront remis à la charge du représentant qui les négociera avec l'extérieur en échange de, par exemple, la nourriture exotique éventuelle.




    L'organisation géographique de l'île sera assurée par une association compétente au service de la collectivité. Il sera mis à la disposition des citoyens un ensemble de parcs botaniques, des médiathèques et bibliothèques où seront présents les médias et livres hérités de l'humanité extérieure, des salles de sport où seront pratiquées toutes les disciplines sportives, et bien d'autres choses auquel je ne pense pas.




    Evidemment, chaque citoyen est libre de quitter l'île quand il le veux, il aura pour simple restriction de ne rien emporter avec lui qui ne soit pas pour son strict usage à l'extérieur, où s'il quitte définitivement l'île, il pourra emporter tout ce qu'il possède. Car la notion de possetion existera bien, elle est indispensable pour assurer le bonheur des citoyens. Chaque objet que désire le citoyen, il l'obtiendra dans la mesure où il sera produit sur l'île et dans sa disponiblité.




    Afin d'assurer l'autarcie de l'île, il faudra veiller à ce que personne ne s'y introduise où n'en sorte sans avoir été contrôlé et fiché au préalable. Pour ce faire, il y aura autour de l'île, une surveillance constante des côtes et du ciel. En cas de problème, on fera appel à la "police" (qui pour régler les problèmes extérieurs, pourra utiliser des armes). En cas de problème intérieur, elle ne pourra faire appel qu'à des négociateurs ou se battre à main nue (précisons que tous les agents seront entrainé à la pratique des arts martiaux).




    Le but principal de l'expérience est de réunir tous les facteurs qui assurent le bonheur en général de l'être humain. Pour cela, je pense qu'il faudra séparer l'île en deux parties. Dans l'une partie, mettons la Nord, les citoyens continuerons à respecter certaines règles comme la morale, le savoir vivre ou le code de la route, ce sera la partie la plus civilisée. C'est là que se situerons les plus grandes aglomérations, les usines, les plus grands et modernes centres de distribution (nourriture, vêtements, meubles, utilitaires, etc.), les médiathèques/bibliothèques et le port.




    La partie Sud sera la partie la plus libérale, aucune règle n'y aura de prise si ce ne sont les lois de Nùménor. C'est là que se trouverons tout ce qui a trait au ludique. Les éventuelles discothèques, les clubs, bars, restaurants, parcs d'attractions, salles de fêtes, etc. se situerons principalement dans cette zone. C'est là aussi qu'il faudra entretenir une forêt qui approvisionera l'île en bois et permettra de faire du camping. Une plage serait enviseageable également... Dans cette partie de lîle, on ne pourra se déplacer qu'à pied, en vélo, ou grâce aux moyens de transport en commun (des trams éléctriques silencieux), toutes ces restrictions ont pour but de limiter les bruits et ennuis parasites et faire de la partie Sud le lieu idéal pour s'amuser et faire des rencontres. Des centres de rencontres, forums, cinéma, théatres et autres seront également prévu à cet effet. J'imagine bien une grande plaine herbeuse dans laquelle des groupes hétéroclites viendront faire un feu et se rassembler autour afin de jouer leur propre musique, boire, fumer et se rencontrer (un peu à la manière des hippies des sixties).




    En parlant de ça, Nùménor n'aura aucune règle vestimentaire d'aucune sorte, chacun sera libre d'aller vêtu (ou non) comme il le souhaite.




    Pour l'administration, Nùménor, en tant que pays, n'exercera que très peu de contrôle sur ses citoyens. Les seuls contrôles que le pays aura sur les citoyens sera de limiter les naissances afin de maintenir constant le nombre d'individus et de ficher chaque personne vivant sur l'île. Les fiches des citoyens comprendront leur date de naissance, leur nom, prénom et adresse, elles auront pour but de savoir qui est dans l'île et qui n'y est pas.




    Pour finir, je vais préciser que chaque personne souhaitant entrer dans l'île devra poser une candidature et passer une série de tests psychologique qui démontrerons que ses intentions en entrant correspondent bien à la doctrine de l'île. Toute personne ayant commis un des crimes punis par la loi de Nùménor avant d'entrer dans l'île [et seulement s'il a purgé sa peine et que son profil psychologique est acceptable], devra porter un bracelet ou un implant avec un émetteur permettant de le localiser à tout moment. Cette mesure est malheureusement nécessaire du point de vue de la sécurité.




    Bien évidemment, si vous, lecteur, remarquez que j'aurais oublié un détail ou autre chose, vous pouvez me le signaler par commentaire :) [Je viendrai éditer si moi même je pense à d'autres choses].


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  • Wééééé, je viens de jeter un coup d'oeil à mon horloge et je m'apperçois que cela fait 40 heures que je suis debout... Balèze quand même non ? Et même pas fatigué, surprenant. Je pige pas ce que j'ai en ce moment... Je semble traverser une sorte de passe où plus rien n'a de saveur particulière, sinon les brefs instants où nous sommes tous réunis. Je me réfugie peu à peu dans le monde si famillier et tant détesté du geeking. J'avais oublié à quel point ça pouvait permettre de tuer le temps... il a même fallu enlever le centimètre de poussière qui recouvrais ma PS2.


    A côté de ça, j'ai l'honneur de vous annoncer que je suis employé bénévole pour le compte de ma mère et qu'il me reste exactement 10€ (un don charitable de mon père) pour finir mon mois (càd, pour aller à la fête des fous et à la pilgrimage).


    Petit coup de blues ce soir... Je pense avoir pu déterminer assez précisément pourquoi. Premièrement, ce soir, c'est la soirée parano à la batelerie et j'aurais beaucoup aimé pouvoir y aller, seulement, comme je disais, mes finances ne seront pas suffisantes pour couvrir l'évènement. CA FAIT CHIER PUTAIN !!!!!!!!! Je voyais cette soirée comme un moyen de me faire, enfin, vraiment accepter au sein de mon secteur et du site en général, c'est loupé.


    Ensuite parce que chaque soir suivant une excellente soirée de la veille est forcément déprimant lorsqu'on se retrouve seul dans sa chambre avec pour seul compagnon un correspondant cybernétique. Vous serez nombreux à me proposer le sommeil, et vous aurez raison. Mais une fois de plus, je ne comprends pas pourquoi... mais tout compte fais, je préfère être sur cette chaise et écrire, plutôt que dans mon lit à faire semblant de dormir.


    Pour rester dans le vif du sujet, j'aimerai vous faire part d'une étrange révélation qui m'est apparue ce matin, pendant une conversation avec Tsu... Nous discutions de je ne sais plus trop quoi et soudain, il me demanda si j'avais eu une relation depuis "V". Je répondis "non" du tac au tac, mais sur le moment, j'ignore pourquoi, j'ai éprouvé le besoin de me justifier. Et c'est pile à ce moment là que j'ai réalisé pourquoi j'avais autant de mal avec les filles, célibataires. Elle me font peur. C'est évident, la raison pour laquelle je suis si timide avec elles, c'est simplement parce que je sais qu'elles détiennent le pouvoir de me faire tomber amoureux d'elles, et par conséquent, de me lancer dans une relation amoureuse avec elle. Le seul truc, c'est que mon expérience avec "V" m'a appris au moins une chose : une copine, ça demande du temps et de l'attention. Deux choses que j'éprouve d'énormes difficultés à dépenser sans compter. Pourquoi ?


    Le temps : très simplement parce que j'ai une hantise dans la vie, non plutôt deux...
    La première serait de mourir avant d'avoir accomplis toutes les choses que je veux accomplir dans ma vie. Et par conséquent, j'ai horreur de perdre mon temps dans autre chose que l'accomplissement de mes objectifs. C'est ce qui me fait peur en ce moment, j'ai l'impression que plus rien ne compte parmis tout ces objectifs... Je devrais être en train de me battre pour faire avancer ma vie, et, à la place, je suis dans mon divan à jouer à casser la tête des démons dans Devil May Cry... Quelque chose ne va pas, mais quoi ?
    Deuxièmement, parce que j'adore ma liberté, je suis sans doute le plus individualiste de notre groupe et j'aime cette solitude, j'aime être mon propre chef. Mais je sais que si jamais je resorts avec une fille, il faudra que je marche à son rythme en rue, que je visite les mêmes boutiques qu'elle, qu'on se voit quand elle en aura envie, etc. C'est du moins comme ça que ça se passait avec "V". J'ai peur de retomber sur un boulet, une entrave à ma liberté, c'est dommage de le voir ainsi, mais c'est comme ça... La fille qui ne sera pas un boulet devra me le prouver avant d'espérer m'approcher...


    Là où ça deviens paradoxale, c'est dans la mesure où l'un de mes objectif dans la vie est de trouver la femme parfaite et faire ma vie avec elle. Alors, où est le bug ? Je veux aimer et être aimé, m'attacher à un être, mais j'ai peur de le faire, voire je ne le veux pas... Pour le moment, je ne sais pas... Il y a peut-être un autre facteur qui joue un rôle, mais je ne sais pas encore lequel...


    L'attention : Ici, c'est très simple, depuis mes trois ans, la maladie qui consumme le corps de mon père, nous enchaîne mon frère, ma mère et moi de plus en plus à lui et à notre maison qu'il ne quitte plus. Comme je l'ai déjà dis, son cas réclame une attention constante, un don de soi quotidien et spontané. Mais je pense que je fais une overdose. Je ne parviens plus à prêter attention à quelqu'un d'autre que moi même c'est derniers temps. C'est horrible de dire ça, mais j'en arrive à avoir peur de rentrer chez moi, car je sais que quand j'y serai, ça recommencera encore et encore. Je n'en peux plus bordel. Je fais une crise d'égoïsme aiguë à la durée indéterminée, j'ai trop vécu pour les autres pendant toute ces anées, maintenant, il faut que je pense à mon propre équilibre et bonheur. Pourquoi il a fallu que ça nous tombe dessus ? Pourquoi je n'ai pas le droit d'avoir un père ordinaire qui travaillerait, irait au resto de temps en temps, jouerait au stratego avec moi ou taperait normalemenet à la machine ?


    Cette maison est une véritable prison. Un piège pervers et impitoyable qui se referme chaque jour plus sur moi. Il faut ajouter à cela les remarques et réflexions idiotes de ma mère qui semble vouloir non seulement me retenir ici, mais en plus violer ma vie privée ; et vous avez tous les rouages mis en place pour saisir toutes les facettes du problème.


    Et voilà réunis toutes les causes de ma timidité maladive ! Les filles célibat m'effraient, car j'ai constamment peur de me retrouver dans leur griffes puis qu'elles me pourrissent la vie autant que "V" le fit. Des fois, j'envie Ben qui ne vois sa copine que les week-ends car elle habite à Bruxelles...


    Et voilà ! Cela fait maintenant 41h ! Je crois qu'à présent, je vais pouvoir aller décement dormir...


     


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  • A mes pieds, gisent les cedavres des deux lycans que je viens d'abbatre. Les blessures du premier laissent encore échapper des volutes de fumées, qui rejoignent ceux sortant de mon arme. Le second, un grand brun aux yeux vert émeraude est couché sur le dos, ma dague fichée dans le crâne, il me fixe d'un regard vide et accusateur. Quand est ce que cette guerre finira ? Je suis las de tuer, las de fuir le soleil et par dessus tout, je suis fatigué de ne devoir plus boire que du sang...




    Depuis 559 ans, je suis le vampire connu sous le nom de "Treza", chasseur de lycan et aux ordres de Sidious, notre guide bien aimé. Tout avait commencé lors de cette funeste nuit où mon village fut attaqué et détruit par les lycans. Ces monstres décimèrent toute ma famille, les charcutant et les saignant comme des animaux. Je ne dût ma survie qu'à mon excellente connaissance de la forêt, dans laquelle je me cachait jusqu'à l'aube. Au matin, ils arrivèrent. Le premier, visiblement le chef, descendit de cheval et me tendis la main. Il me dit être le chef des vampires, celui qui traque et tue les lycans. Le soir même, j'étais des leurs.




    Mes débuts furent merveilleux, enfin, je vengeais les miens grâce à mes nouveaux pouvoirs et mon nouveau clan. L'ivresse du sang, l'adrénaline des batailles et la soif de vengeance me poussèrent vers l'avant. Je pris goût à la vie immortelle... Progressivement, nous commencions à avoir le dessus sur les lycans, les chassant jusque dans leur derniers retranchements. L'évolutions des armes et l'enrichissement soudain de notre race nous permis de nous immuniser définitivement contre les lycans, restés des monstres sauvages semi primitifs. Je me prend presque de pitié pour eux avant d'appuyer sur la détente... Aujourd'hui, je pense que leur dette de sang m'a été remboursée, comme à tout mon peuple d'ailleurs. Alors, pourquoi continuer cette guerre absurde ?




    Au loin, un hurlement lugubre m'informe qu'un troisième se cachait dans une autre pièce du squatt, il aura eut largement le temps de se transformer. Il va y avoir du sport... Le chargeur de mon berreta glisse hors de ma crosse et va s'écraser avec un bruit métallique sur le sol de béton, il ne me reste que trois chargeurs pleins, cela suffira. Par sécurité, je sors mon second calibre et le pointe dans la directions des cris, au bout du long couloir qui remonte vers l'immeuble. J'avance précautioneusement, à l'affût de tout bruit suspect, seul le bruissement de mon pardessus noir viens troubler le silence.




     




     


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  • Ce soir, la simple envie d'écrire m'a reprise. Après un arrêt de trois semaines, voire plus, mon blog me manquait. Je le relis et m'apperçois qu'il n'a pas rempli la moitié des objectifs que je m'étais fixé en le commençant... Tant pis, je n'ai plus envie de continuer à écrire selon des voeux périmés. Je vais simplement écrire pour moi, même si je sais que le simple fait de ne plus avoir à faire des dissertations pour l'école va me manquer. Putain, l'école me manque. Jamais je n'aurais cru que je dirais ça, mais pourtant, c'est vrai. En cet instant de creux intellectuel, je me rends compte que j'ai toujours aimé ce bourrage de crâne qu'on y reçoit, tant d'informations utiles et inutiles à assimiler en si peu de temps par rapport à la durée totale de notre vie... Oui, l'apprentisage me manque, les sciences me manquent, l'histoire  et la religion aussi.



    J'ai comme l'impression que les vacances ont un effet négatifs sur mon moral et mon activité intellectuelle, tout en étant bénéfique pour mon corps. Oui, c'est étrange, je dors mieux, je suis rassasié après un repas, mes douleurs de dos s'arrangent, mes dents aussi, enfin bref, de ce côté là, tout baigne.



    23h30, et je m'apperçois que la journée a filé à une vitesse effarante. J'ai juste eu le temps de mater deux films, tondre la pelouse et rebatir ma ville playmobil. Putain, j'avais oublié à quel point c'était agréable de construire quelque chose selon mes propres règles. Pour finalement arriver à un résultat surprenant : une ville ! Le tout peuplé de petits bonshommes souriants et qui semblent heureux d'habiter un petit village du Far-West, un village où règne l'ordre et la prospérité, riche et bienheureux. C'est étrange, les playmobils procurent le même effet que la télévision : ils vident l'esprit et rendent heureux. D'un autre coté, vous me direz qu'on se lasse plus vite des playmobils que de la télé et que construire des vilages cow-boys insruit moins que la télé, mais bon, choisissez : l'édification du plastique ou la destruction de votre raison de citoyen libre.



    Bon, j'arrête là de divaguer, personne ne remplacera jamais sa télé par des playmobils et je vais devoir aller me coucher, je bosse demain (bénévolement bien entendu) et j'ai besoin de dormir.


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