• Ce soir, je venais écrire un article désespéré, haineux, triste et déprimant à souhait. Je venais retranscrire un article que j'ai écris tout à l'heure dans le train... Mais j'ai décidé de ne pas le faire. Je passe donc écrire pour dire que je n'écris pas.

    Je dirai juste qu'une fois de plus... Et encore avec autant de force destructrice qu'auparavant, le doute, la paranoia et le désespoir sont là.

    Une fois encore, je me suis perdu dans les limbes de mon esprit, une fois encore, j'ai été incapable de gagner ce combat impitoyable que je semble me livrer.

    Cette situation m'épuise, je sens que je vais aller consulter un psy. Et surtout, surtout, je vais cloturer cette partie du blog. Cet endroit n'est plus approprié, sa ligne éditoriale est périmée et désuette, il tourne comme je n'ai jamais voulu qu'il tourne mais son rôle a changé, j'ai changé.

    Ceci est donc le dernier article de la section "lamentation alias Entre deux insomnies".

    Mais aujourd'hui, ce soir... A défaut d'autre blog, je vais juste tenter de ne pas m'étaller, tenter de ne pas piquer une crise de démence. Je venais juste tenter de me comprendre, de savoir ce qui ne tourne pas rond pour que ce qui s'est passé ai bien pu se passer. Comment des actes peuvent ils avoir un impact si terrifiant sur la psyché ? Comment un être peut il se mutiler et se torturer à ce point par manque de confiance en lui ? Comment est ce possible de se haïr à ce point ? Comment peut on se sentir si pitoyable ? Si insignifiant ? Et comment, Bon Dieu comment, peut on se saboter soit même à ce point ?

    [Et elle me manque déjà] 


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