• J'avais oublié...
    En même temps, j'ai l'impression de n'avoir jamais commencé...
    Un espoir, un unique espoir...
    Cela semble si fragile et pourtant si prometteur...
    Je suis un rêveur, je ne peux m'empêcher de me faire un scénario...
    J'aime ça, j'aime tout simplement ces moments passés à converser de tout et de rien...
    Regard dans regard, sourir pour sourire, doigts entrelacés...
    Et je me sens si étrangement bien...



    Nous verrons demain...


    votre commentaire
  • Suréalistes... Je viens de vivre les 48h les plus suréalistes de ma vie.



    Vous savez ? Quand on fait un rêve très agréable et qu'il s'interrompt avant la fin, il reste toujours ce goût amère dans la bouche au réveil... Quand on fait un de ces rêves, il faut se réveiller pour se rendre compte que c'en était un...



    Et si j'étais bloqué dans un de ces rêves, et que je ne savait plus distinguer le monde réel de l'irréel ?



    Et si il était possible que le bonheur m'ait enfin accordé une once de chance ?



    C'est magique, je l'ai dis.



    Tout avait commencé d'une manière si anodine... Quatre paranoïaques en trip dans un huis clos. Le monde qui se soumet à l'esprit. Les effets simples que la nature peut avoir sur un oganisme. Une soirée entre amis... ordinaire.



    Puis, c'est l'entrée remarquée de deux figurants suplémentaires, le décor change, les émotions évoluent. La lune semble avoir bougé dans le ciel, l'éclairage se refroidit. Il règne une soudaine embiance de troubles... Et puis, c'est la révélation.



    Ce fut fort étrange... Sucré et amer en même temps, la semi-stupéfaction faisant place à la peur du trop beau.



    Et puis vint la douleur et le doute, cruel choix entre l'amour et l'amitié. Mais les questions n'ont pas le temps de se poser que la solution se révèle d'elle même : la voie de la raison.



    Ensuite vint le coup de théatre qui fit tout basculer.



    Enfin, c'est l'accalmie.
    Et puis la paix.



    Mes amis, je ne sais que vous dire, cette soirée pourrait se résumer en trois lignes comme on pourrait en remplir deux pages... Je tiens juste à vous remercier pour votre humanisme et votre bon sens. Je pense que cette soirée va marquer d'une empreinte indélébile notre histoire... Et même si, une fois encore, avoir fait involontairement et indirectement du mal me rend malade, j'espère que nous resterons encore tous unis commes nous l'avons été jusqu'ici... Mes amis... Je vous aimes.


    votre commentaire
  • [Cet article a été rédigé le 29/08 et corrigé aujourd'hui] 


    Je disais dans l'article du 27 que j'avais découvert le truc qui m'attirait aux limites du possible chez une fille : son individualisme ! Je me demande pourquoi il en est ainsi, mais quand je fais la liste des filles sur qui je me suis déjà pris un flash, c'est une donnée récurente : elles étaient seules ! Non, je ne pense pas que le terme individualiste soit tout à fait approprié pour résumer tout les cas, mais du moins, elles étaient seules.


    Je m'apperçois soudain que ce qui me fascine chez les gens, c'est leur capacité à s'assumer eux même et leur amour propre. Je cherche et un reflet et un opposé. Un reflet en la personne qui s'assume elle même, dans mon cas, la solitude ne m'est plus étrangère et est même devenue une compagne. En effet, toute ces années de solitude sociale m'ont appris une chose : on a pas besoin des autres pour ne pas s'ennuyer, de plus, j'ai pris goût à cette solitude et je l'apprécie. Ce dont j'ai horreur par contre, c'est la "fausse non-solitude", par exemple dans le bus, chacun est refermé sur lui même, en présence de pleins d'autres personnes, on est seul mentalement, mais pas physiquement, je déteste ça. En bref, la solitude physique m'est indispensable et je cherche précisément une fille qui partagerait cet amour, je n'aurais ainsi aucuns scrupules à profiter de ma solitude vitale, vu qu'elle en profitera tout autant que moi.


    Ensuite, je cherche quelqu'un qui s'aimerai elle même avant d'aimer les autres. Je pense que c'est indispensable aussi pour pouvoir aimer, il faut d'abbod apprécier l'être que l'on est et atteindre l'harmonie du corps et de l'esprit. C'est là que je coince. Je n'ai jamais apprécié ce corps que m'a donné la nature... Certainement parce que pendant mon enfance, trop souvent on s'est moqué de moi sur ce sujet... Par conséquent, je ne suis jamais sur de moi, j'ai toujours l'impression d'être déplacé, que tout le monde me regarde... C'est peut-être aussi pour ça que je n'arrive pas à trouver l'amour.

    En gros, je cherche une fille qui n'aurais pas besoin de moi, il faudrait qu'une fille qui s'auto-suffise tombe amoureuse d'un gars qui a un complexe d'infériorité... Putain, je suis vraiment pas prêt de tomber sur la bonne.


    1 commentaire
  • Note : ne plus jamais tomber amoureux ou aider les autres.


    Je comprends à présent pourquoi je ne veux plus jamais, vous m'entendez ? JAMAIS sortir ou avoir une relation plus proche que l'amitié avec un être humain. Les humains sont des créatures démoniaques qui devraient toutes brûler en enfer, ils ne passent leur putain de vie misérable et pitoyable qu'à se détruire les uns les autres et à s'auto-détruire. Je devrais partir d'ici sur le champs afin de vivre en reclu dans un monastère tibétain, emmurez moi et ne me parlez plus jamais de "coup de foudre", de "destin", ou de charité...


    2 commentaires
  • Houlà, ça vient de me tomber dessus, d'un seul coup, je me sens aussi seul qu'un astronaute dans l'espace, désespérément solitaire. C'est curieux, en général, ça ne me rend pas si malheureux de me rendre compte que l'amour est étrangement absent de ma vie... Même les paroles dures et rugueuse de Laibach n'arrivent pas à me distraire de ce sentiment écrasant...


    J'aimerai dans ce moment précis que mon pc se change en ami(e) qui me tendrait la main et me laisserait pleurer sur son épaule toute mon amertume par rappoprt à cette journée épouvantable que je viens de vivre. J'ai appris que "V" compte faire les mêmes études que moi, que je vais devoir la supporter elle et son intolérable présence encore pendant un bon bout de temps. Je ne peux pas l'accepter, je refuse d'envisager ça, je ne veux pas... NON !


    C'est impossible, pas elle !  La seule personne que je ne peux supporter d'avantage de voir... Et elle vient dans la même faculté que moi, dans les mêmes amphis ! Alors qu'avant, elle allait être bien loin de moi, me laissant profiter des vestiges de mon meilleur ami. Mais non, elle va de nouveau être collée à lui, de nouveau tirer sans arrêt la gueule, de nouveau répandre sa mauvaise humeur comme un poison autour d'elle, de nouveau me rendre plus malheureux que jamais, m'imposer la vision de sa triste et pitoyable existence. Et nom de dieu, je prie pour qu'elle lise cet article et qu'elle disparaîsse une bonne fois pour toute de ma vie, SALE PETASSE !!!!!!!!!!!!!


    Toi, "V", si jamais tu lis cet article, sache que je te hais, encore plus que n'importe qui ou n'importe quoi sur Terre, je veux que tu disparaîsse définitivement de ma vie et que, pour une fois, tu mène ta propre existence sans la calquer sur celle des autres (de moi et "B" en l'occurrence).


    Si jamais c'est toi, "B", qui lis cet artricle, transmet à ta copine, et si jamais elle s'avise de venir dans notre option et renouveller les scénarios de cette année, sache que notre amitié s'arrête ici, maintenant et sans préavis. Ceci est effectivement un ultimatum et une menace, vu que la méthode douce a échoué, je vais devoir faire remonter ce sentiment basique et que je déteste à la surface : la haine. La violence si il le faudra, mais je refuse catégoriquement de pourrir mon parcours universitaire pour toi.


    2 commentaires