• BON ! Force est de constater que toute ma liste de contact msn est frappée de mutisme prématuré. Et c'est suite à une série de conversation que je me rend compte du point auquel je hais profondément ce programme. Je prends donc la décision, prématurée elle aussi, de couper et désinstaller définitivement msn messenger. Ceux qui souhaiteront me parler devront employer une autre voie que celle là. Attention... 5... 4... 3... 2... 1... 0 ! Ca y est ! J'en suis débarrassé ! A tout ceux qui liront cet article et qui me regretteraient éventuellement, je dis : nos ancêtres faisaient bien sans, je ferait pareil ! Bonne soirée à tous.

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  • Pompompom *Se promène sur son blog et pompomtant*


    Dingue toute les conneries que j'ai réussi à amasser ici Oo Va falloir que je fasse gaffe à pas me trébucher sur un truc ou me ramasser la gueule sur un lustre trop bas... En fait, il faudrait que je trouve un but logique à cet amas de pixels désorganisé. Bha oui, un blog sans but, ça fait con non ? Surtout étant donné que les buts d'origine sont désuets et obsolètes... Ces derniers temps, ça ressemble plus à un pleurnichoir qu'à autre chose, vu que le temps qui m'est impartit pour écrire est considérablement raccourci.


    Bon, là, je suis coincé chez moi à attendre ce soir d'aller me murger chez un pote pendant que ma copine a chopper je ne sais quelles saloperie de maladie qui va compromettre fortement notre week end. Tout ça parce que le paternel à besoin d'une âme charitable pour lui donner la becquée ce midi et ses médocs à 16h... Vachdement cool non ? T'as d'un côté la femme que j'aime qui est ptêt bien à l'agonie dans les rues de Liège [voire pire] et de l'autre le boulet bloqué chez lui à s'emmerder et à écrire des conneries sur son blog...


    Anyway, mon chat commence à me faire peur. Il crachotte des boulettes de merdasse jaune et filandreuse depuis deux semaines [on me dit à l'oreillette que ce sont des poils]. Bon, okay, je veux bien, le seul ennui, c'est que c'est dans MA chambre qu'il gerbe ses saloperies [mon frère : mais ça veut dire que c'est ans ta chambre qu'il est le mieux, qu'il t'aime]. Merci poupouss.


    Cela dit, je continue à m'ennuyer là... Ah oui ! Un autre machin que je vous avais pas dit : je vais devenir chef baladin ! \o/ Eh ouais, comme ça, paf ! J'avais pourtant juré de ne plus approcher des mouvements de jeunesse, mais je me devais d'accomplir mon grand come back dans ces milieux avant mon décès tout proche. Oui, parce que j'ai aussi décidé que j'allais mourir d'un infar sur un banc public en nourrissant des canards à l'âge de 84 ans, donc, c'est relativement bientôt. Qu'est ce que je disais ? Ah oui ! Les baladins donc... J'en connait plus d'un qui vont sourciller et même froncer des sourcils en lisant ceci [entre autre ceux qui me pleurent après depuis deux ans pour que je devienne chef louveteau]. Désolé les gars, mais un signe inespéré du destin m'a bien fait comprendre que c'était maintenant ou jamais. Bha oui, quand un pigeon vous manque de trente centimètre avec son projectile vaseux alors que vous êtes assis sur un banc public, ça ne peux que signifier que vous mourrez sur un banc public et que si vous devenez pas chef tout de suite, vous ne pourrez plus jamais le faire. Que ferais-je sans ces adorables volatiles ?


    MAIS ! Cela implique un autre détail administratif... Va falloir que je me fasse totémiser ! Eh ouais. Après y avoir échapper lors de ma démission prématurée des scouts, va falloir quand même que j'y passe, ce vendredi même si ça vous intérresse [je sais que vous en avez rien à foutre, mais quand je vois le taux d'audimat de loft story, je me dis qu'un peux de blog réalité, ça fera pas de mal pour une fois]. Et donc, je sais pas à quoi m'attendre en fait, je sais juste qui va s'occuper de mon cas, deux folles aux pulsions sanguinaires à ce qui parait. Me réjouis d'y être tient, que cette frénésie baladinesque prenne fin.


    Ah ! Un changement positif cependant. Suite à mon précédent article, beaucoup moins de gens semblent pressés de commander ma vie, étonnant vu que peu de gens concernés par cet article lisent mon blog... Mais bon, ne gâchont pas le progrès. Je suis donc très heureux, tout vas bien dans le meilleur des mondes. Je vais passer la nuit à boire chez mon meilleur pote, me faire totémiser et faire mon premier jour en tant que chef avant de reprendre joyeusement les cours ! Oui, parce que contrairement à tout le monde, je n'ai eu qu'une mince semaine de congés... Seul point négatif au tableau : ce rêve pémonitoire que je viens de faire qui sous-entends que je vais rater mon année, yahou ! Wouhaha ! Haha ! Ha ! Heu... Bon, là j'arrête parce que ça deviens légèrement pourri comme article...


    *PAF* Aouch ! Saloperie.


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  • C'est dans un moment pareil que je me rend compte à quel point ma vie actuelle semble linéaire et morne. Dans cet instant solitaire [et non, je me branle pas], je me souviens...


    Je me souviens de cette époque bienheureuse où j'avais du temps à perdre, où réussir brillament ne demandait que trois heures d'études. Cette époque où nous jouions aux cartes entre les cours plutôt que de saisir nos livres pour ratrapper notre retard en math ou bio cellulaire. Epoque où il était possible de passer une journée entière à jouer à la playstation sans remords, sans penser continuellement à cette putain de matière à potasser. Un âge révolu à présent où j'étais disponible pour mes amis.


    Mais deux évènements successifs me donnent parfois l'impression d'avoir anéanti ma vie sociale en un claquement de doigts. Loin de moi l'idée de dire que je regrette ces évènements, non, je pense même qu'ils m'ont été bénéfiques, mais sur un autre plan, j'ouvre ma liste de contacts msn et constate avec dépis que je n'ai plus assez confiance en qui que ce soit pour me confier à lui. Des luttes intestinales semblent déchirer notre groupe si unis autrefois, sans que je sache exactement de quoi il retourne. Pas le temps de penser à ça, devoir rester concentré, tendu vers mon but ultime : réussir cette putain d'année. Et comme mes prédécesseurs, j'apprends à mes dépens que cette réussite a un prix : la vie sociale. Je suis atteint d'un syndrome inquiétant car il m'est totalement inconnu : la no-life attitude.


    Ce terme désigne bien ce qu'il veut dire : le no-life se lève le matin [tard en général], passe sa journée à une seule et même activité, le coupant de toute relation humaine, et ensuite, il se couche. Le lendemain, tout recommence. Moi, c'est pareil, je me lève à 10h, je boit mon café, je synthétise la matière vue le jour précédent, je dîne à 12h, jusqu'au soir, j'étudie la nouvelle matière, je soupe et j'étudie encore jusqu'à 1h, là je passe encore une heure à relire le travail de l'après midi. Voila à quoi se résume ma vie en ce moment.


    Et au final, tout ça pour quoi ? Pour rien... Si au moins, je réussissais... Mais non, j'en suis à mon cinquième examen et probablement le quatrième raté. Le prochain s'annonce comme le plus facile, car ce prof là au moins, nous posera des questions sur sa matière et non sur celle des autres... Oui, il semblerait que ce soit une manie à l'unnif de poser des questions extérieures au cours concerné. D'autre part, je ressens comme qui dirais une profonde fatigue et lassitude, comme si j'avais des années de sommeil en retard... Mon regard èrre le long des équations chimiques à la recherche d'une réponse que je ne trouverai pas... A quoi bon de toute manière ? J'ai raté ce putain d'examen et ce n'est pas en cherchant à trouver mes erreurs/ bonne réponses que ça va arranger quoi que ce soit... Je devais payer cette vieille dette à la paresse et à la vie sociale... Alors je paye. Oui, car il semblerai de toute évidence que je ne travaille pas encore assez, et ma chère mère est bien là pour me le rappeller.


    Autrefois, je réussissai, et j'avais bon coeur à la faire, parce que la plupart des gens de ma famille me soutenaient, appréciaient que je réussisse, et me le faisaient savoir... A présent, j'ai l'impression que ça n'a plus d'importance pour quiconque, que ça en emmerde même certains, parfois moi en premier. Malgré ma passion des sciences, je m'apperçois que si l'année prochaine, on tourne toujours au même régime avec des matières aussi chiantes, je craquerai et changerai d'orientation... Oui, je l'avoue : cette année ne me plait pas... Mais alors là, pas du tout ; trop de pression, trop de truc chiant à étudier, trop de basseries des profs et plus de vie amusante. Aller au cours m'ennuie, j'ai le sentiment que ça ne sert à rien vu que tout est écrit sur papier dans les livres. Etudier ne semble pas servir non plus étant donné que ça ne sert pas à réussir... Alors que me reste t'il ? J'ai l'impression de ne plus avoir d'amis, plus de vie cybernétique, plus de passions, plus de loisirs, plus de temps, plus d'énergie... Il me reste juste Elle... et ces putains de cours.


     


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  • En résumé : Pas good


    - L'unnif m'abruti par la surcharge de travail, je sens que je vais péter un câble.
    - Plus le temps de faire ce que je veux et penser à moi sans culpabiliser de pas être en train d'étudier.
    - Plus le temps d'écrire, et CA, ça me fait vraiment chier.
    - Mes amis me manquent et l'équilibre que nous nous étions créé semble voler en miette, et j'ai peur d'en avoir été le déclencheur.
    - J'ai l'étrange sentiment d'être l'inapte intellecuel du groupe et qu'une personne en son sein ne m'aime plus beaucoup, et ça me fait chier aussi.


    En résumé : Neutre

    - Mon frère se transforme en une sorte de geek / métaleux, c'est l'adolescence...
    - Ma mère m'intrigue : tantôt elle est gentille, tantôt elle me critique sans arrêt, c'est la ménopause...
    - Le cas de mon père s'aggrave : il devient geek lui aussi, c'est la maladie...


    En résumé : Good


    - Le temps du doute est révolu, je L'aime.
    - J'étudie une matière que j'adore avec des gens tout aussi adorable, aller à l'école devient un plaisir.
    - Soirée parano après demain.
    - *Après demain, c'est aussi nos deux mois*


    Note :

    - Sentiment étrange de désordre dans ma vie, va falloir s'appliquer à pas se perdre.


    Jauges de contentement :


    Amour :                                    [■■■■■■■■□□]
    Contact physique :                     [■■■■■■□□□□]
    Auto-satisfaction :                     [■■■■■□□□□□]
    Glandage :                                [■■□□□□□□□□]
    Substances psychotropes licites : [■□□□□□□□□□]
    Rêverie :                                  [■■■□□□□□□□]
    Geeking :                                  [■■■■□□□□□□]
    Vie sociale :                              [■■■■■□□□□□]
    Santé :                                    [■■■■■■■□□□]


    Jauge de vices :


    Avarice : Plus rien donné à un mendiant depuis des mois.
    Colère : Contre eux pour mon inaptitude intellectuelle, leur surnombre et mon incapacité à gérer mes pulsions amoureuses.
    Envie : J'envie mon chat pour sa flegme.
    Gourmandise : Rien ne me résiste en ce moment.
    Luxure : [En progression]
    Orgueil : Empty, pas le temps...
    Paresse : Envie mais peux pas...


    reNote :


    Ca va un peu mieux, désolé pour cet article totalement ininteressant, mais j'en avais besoin...


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  • Ils

    Un phénomène étrange est en train de se produire dans ma vie. Si je devais vous le décrire exactement, je crois que j'en serais incapable... Pourquoi, je ne le sais pas moi même, trop long sans doutes. Mais je vais néanmoins vous donner un bref apperçu de ce phénomène (pardonnez moi si ma prose devient hésitante par moment, c'est parce que, pour la première fois de ma vie, je n'ai pas les idées claires).


    Premièrement, je me rends compte que ma vie est en train de se fractionner en deux parties distinctes : l'école, caractérisée par un sentiment du devoir accompli et du bonheur d'apprendre, et les moments trops courts passés avec Elle. Je dois bien vous avouer une chose : s'il y avait bien quelque chose que je détestais - et que je déteste encore - dans les blogs, ce sont les gens qui postent des articles se résumant à ces cinq mots : "Je t'aime mon amour". Je trouve cet étalement de bonheur parfois franchement scandaleux et inutile, si j'étais l'être aimé concerné, j'exigerai qu'on enlève cette exposition de la vie privée de notre couple d'internet sur le champ. Ce n'est pas que l'envie d'écrire cela dans mes pages me manque, mais je trouve cet étalement à la limite indécent pour le lecteur célibataire et déprimé qui me lit... Alors je ne vais pas l'écrire, je vais juste vous dire que je sort avec la fille la plus merveilleuse dont j'ai pu rêver et que je l'aime plus que tout, cependant, et par décence pour cette même merveilleuse fille, je ne citerai pas les sentiments qu'elle éprouve à mon égard...


    Vous en savez maintenant assez pour juger de l'état de ma vie amoureuse et vous faire une idée mon humeur générale en ce moment. J'espère que les célibats désespérés qui me lisent n'ont pas eu trop difficile de lire ce qui précède... Si ce fût le cas, je m'en excuse, je le referai plus aussi explicitement, promis. Mais revenons au sujet d'origine...


    Je disais donc que ma vie était maintenant séparée en deux parties. Je ne vous cache pas que j'ai déjà pris goûts à ces deux vies... D'une part, c'est une vie sociale riche et diversifiée, le tout trempant dans le milieu et les études universitaire que j'adore. Et de l'autre, c'est l'amour, la tendresse et le trip perpétuel. Que du bonheur me direz-vous ? Comme je suis un chiant, je vais quand même vous trouver la faille, le truc qui a fait que je me suis mis à écrire ce soir...


    Si je suis ici, c'est parce que je suis en manque... Ils me manquent, tous ceux que je cotoyait presque à excès l'année passée et toutes les vacances : Jen, Tsu, Sita, Meph, Ben, Sim, Soul, Cha, Astrid, Timo, Sylvain, Fanny, Joos et j'en oublie... A présent, on ne fait plus que se croiser, essayant vainement de se voir en accordant nos horaires... On est loin des trois récrés/jour que nous passions tous ensemble. Ca me manque malgré tout car je ne parviens pas à retrouver à l'unnif cette ambiance exceptionnelle que nous avions en secondaire... A présent, les conversations sont retombées souvent bien bas : meufs', bagnoles, alcool, clope, informatique et basta. Où sont passées nos trips monstres sur des conneries telle que la Bosnie, l'élevage du crabe serbe ou encore notre emménagement à tous dans une seule et unique maison où nous vivrions en harmonie les uns avec les autres ? Je ne vous parle même pas des discussions où nous refaisions le monde, échangions nos anecdotes sentimentales, amicales, cybernétiques ou nos aventures sur parano...


    Je sais que cette époque est révolue, non je ne le regrette pas car je pressent que le futur est en marche et que ce ne seront certainement pas nos études respectives qui nous séparerons... Mais je sais aussi que cette complicité presque fusionnelle que nous avions risque de disparaître à tout jamais... Si ce n'est déjà fait ! C'est cela que je regrette... C'est pour cela que j'étais venu écrire ce soir...


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